Accueil > Sport > Patrice Quarteron dérape avec Mennel Ibtissem : « T’es un immonde cancer »
Patrice Quarteron dérape avec Mennel Ibtissem : « T’es un immonde cancer »
mercredi 14 février 2018, par
Via son compte page Facebook, le boxeur Patrice Quarteron s’est adressé de manière très virulente et agressive à Mennel Ibtissem, la jeune candidate de The Voice, qui a suscité une vive polémique en raison des tweets sur l’attentat de Nice.
On vous propose de découvrir ce message dans son intégralité
À Mennel Ibtissem,
Aux fausses idoles d’un islam soi-disant acceptable en Occident,
Aux jeunes perdus dans les tourments de prédicateurs de « l’à peu près »,
Chère Mennel,
En t’écoutant chanter dans l’émission « The Voice », beaucoup d’entre nous se seraient retournés.
Tu possèdes une voix d’or.
Tes octaves provoquent une vive émotion qui s’enracine dans l’esprit.
En te voyant, on découvre une jeune femme assise.
On te devine fragile.
Tu chantes du Leonard Cohen.
Ce monstre sacré aujourd’hui au panthéon des poètes décédés.
Un juif de génie.
Un poète sans frontières.
Mais quelque chose cloche.
Tu sens « l’pas clair ».
Les internautes s’interrogent.
Alors, on sort les pinceaux.
On devient archéologues.
On traque Internet.
Tu postes ta vie sur les réseaux.
Alors, on la décrypte.
Et là, on tombe des nues.
Chère Mennel,
T’es un cancer.
Un immonde cancer.
Et parmi toutes les horreurs que tu as l’élégance de cracher sur le net, il y a ce tweet :
« C’est bon c’est devenu une routine, un attentat par semaine !! Et toujours pour rester fidèle, le “terroriste” prend avec lui ses Papiers d’identité. C’est vrai que quand on prépare un sale coup, on n’oublie SURTOUT PAS de prendre ses papiers !! #prenezNousPourDesCons ».
Ça ne te dérange pas de voir des gens crevés.
Des têtes écrasées.
Des corps démembrés.
De toutes les confessions : musulmans, catholiques, juifs ou autres.
Non, ça, tu t’en fous.
Toi, les gamins écrabouillés, ça te donne envie de causer papiers d’identité.
Toi, les familles endeuillées et polytraumatisées, ça te donne envie de causer complots.
Toi, les larmes d’une fillette pour sa mère, ça te donne envie de mettre des guillemets au mot « terroriste ».
Tu me dégoûtes.
Tes tweets puent le charognard.
Chère jeune fille,
Ces islamistes revendiquent leurs attentats.
Qu’ils prennent leurs papiers ou non, ces sous-merdes sont fières.
Tout comme toi, ils rêvent de devenir des stars dans leur domaine.
Et s’ils ratent leur coup et qu’ils veulent se barrer à l’étranger, ils en auront bien besoin de leurs papiers.
« N’oubliez pas vos papiers les copains ! ».
Tu pourras filer ce conseil à tes potes s’ils décident de commettre un putain d’attentat.
Cher enfant,
Tu chantes les horreurs vécues par les Palestiniens et tu craches à la gueule des victimes d’attentats dans ton propre pays.
Et après tu nous dis que tu chantes pour la paix.
Mennel : tu te fous du monde.
Tu es une putain d’hypocrite.
Une saleté de complotiste.
Tu es une gamine comme tant d’autres dont on peut suivre la radicalisation sur les réseaux sociaux.
Toute ta présence sur le net est un cancer.
Une idéologie ouatée, soi-disant acceptable, dont le tenancier, Tariq Ramadan, ce faux prophète de l’islam moderne en Occident, est incarcéré pour des inculpations de viols.
T’as une belle voix, mais t’es pas bien maline.
Le bon Tariq a su t’endoctriner.
Tu le défends bec et ongles sur la toile.
Bon, là, le Tariq, il écarte le cul en toussant dans sa geôle pour que des surveillants vérifient que ton idole n’ait pas d’armes cachées aux tréfonds de sa pensée.
Je suis sûr que l’idée te débecte.
Pour le moment, tu ne le défends pas le Tariq.
Tu te tais.
Tu te caches.
T’en penses pas moins, mais tu ne peux pas tweeter comme tu le souhaites.
Tu dois avoir la DGSI au cul.
Forcément, ça couine dans l’salon.
Ça grince dans la cuisine.
Ça chuinte dans l’combiné.
Mais t’en penses pas moins.
En bonne complotiste, tu dois imaginer que le bon Tariq est non coupable.
Que cette histoire de viol, c’est un complot politico-sioniste franco-juif américain.
Que ces femmes violentées l’ont bien cherché.
Ou mieux !
Qu’elles ont été payées.
Non mieux !
Elles sont juives, colonialistes, et anti-islam et commanditées par le pouvoir en place.
Au travers de tes postes, on voit bien quels sont tes fondamentaux intellectuels.
L’antisémitisme, le antisionisme, l’homophobie et la victimisation des musulmans dans une société qui les rejetteraient.
Que du faux.
Des idées de baltringues.
Un mixe d’idées d’il y a 200 ans et d’idées ridicules.
Pourtant, tu es jeune.
T’as de la culture.
Mennel,
Je suis sûr que tu parles mieux français qu’arabe.
Et puis…
Quoi que tu en dises…
La France t’a donné une forme d’intelligence non ?
Comment peux-tu tomber dans cette facilité ?
Cette ignominie stupide et communautariste.
Toi, l’ange à la voix d’or, comment peux-tu cracher sur tes compatriotes en avalant toutes ces thèses de merdes que tu valides sur tes comptes ?
Mennel,
Tu sais ce qui ressort de toi en lisant tes feeds ?
Une complotiste.
Tu es atteinte de ce mal profond, tout comme beaucoup de nos jeunes qui ne distinguent plus clairement les enjeux politiques de notre monde.
Tu te complais dans une zone grise.
Pourtant, la patrie, elle t’a donné ton éducation.
Elle t’a permis d’apprendre à lire, à écrire, de réaliser tes rêves, jusqu’à atteindre la prestigieuse émission « The Voice ».
La France, elle t’a soutenue.
Et toi ? Qu’as-tu fait pour elle ?
Tu lui craches à la gueule, et tu te fais le porte-voix des jeunes intégristes.
Ta religiosité nauséabonde éclabousse tous les autres musulmans.
Tu les salis.
Tu leur fais du mal.
Tu es une militante politique.
Tu es responsable et coupable.
Tu te victimises.
Comme tu victimises les musulmans,
Tu vois, tu aurais pu être une grande chanteuse.
Je suis sûr que tu aurais aimé cela.
Ta gloire aura été éphémère.
T’es cuite en France.
T’as plus qu’à aller chanter en Palestine, ou pour une terre dont tu te sens plus proche que celle qui t’a nourrie.
Mais bon, tu dois avoir des excuses.
Les gens comme toi ont toujours des excuses.
Mennel,
Tu es jeune.
Tu dois retrouver le chemin de l’intelligence.
Car là tout de suite, tu as peut-être la voix d’un ange,
Mais tu t’épanouis dans la bouse.